Association québécoise Plaidoyer-Victimes

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Mai 2024

🔍 Ce mois de mai, plongeons dans la 𝐧𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐯𝐢𝐜𝐭𝐢𝐦𝐞 sous divers angles grâce à la 𝐩𝐫𝐞́𝐜𝐢𝐞𝐮𝐬𝐞 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐚𝐛𝐨𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝’𝐞𝐱𝐩𝐞𝐫𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝’𝐞𝐱𝐩𝐞𝐫𝐭𝐬:

 

Étymologie du mot victime

 

Par Arlène Gaudreault

Criminologue et ambassadrice du 40e anniversaire de l’AQPV

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Typologies du mot victime

 

Par Jo-Anne Wemmers, professeure titulaire à l’École de criminologie de l’Université de Montréal, responsable de l’équipe de recherche Victimes, droits et société, et co-fondatrice du Centre de justice pour les victimes d’actes criminels (CJVAC).

Source: (2017) Victimologie: Une perspective canadienne, PUQ, pp. 74-75

 

 

Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP)

L’implication de la personne victime au sein du système de justice criminelle est-elle limitée à son rôle de témoin au procès ?

 

 

Par Me Annouck Balzer, procureures aux poursuites criminelles et pénales au Bureau des mandats organisationnels du DPCP

 

 

 

Par Me Julie Pelletier, procureures aux poursuites criminelles et pénales au Bureau des mandats organisationnels du DPCP

 

 

Première partie: La personne victime a une place importante au sein du processus judiciaire criminel, qui va bien au-delà de son témoignage lors du procès.
 
Deuxième partie: La personne victime est informée et accompagnée tout au long des procédures.
 
Troisième partie : La protection de la vie privée et de la sécurité et mesures d’aide au témoignage.

*Ceci n’est qu’un aperçu des différentes mesures prises pour favoriser la participation des personnes victimes au sein du système de justice pénale. Pour en connaitre davantage sur les mesures d’accompagnement et de protection, vous pouvez consulter les fiches destinées aux personnes qui interviennent auprès des personnes victimes, de même que les fiches spécialisées destinées aux personnes victimes,  fruit d’une étroite collaboration entre l’AQPV et le DPCP.

 

Quatrième partie : La prise en compte des conséquences du crime sur la vie de la personne victime et des dommages qu’elle a subis.

Pourquoi les enfants sont-ils maintenant considérés comme des victimes et non uniquement comme des témoins de la violence conjugale ?

 

Par Simon Lapierre, Professeur titulaire, École de travail social, Université d’Ottawa | Directeur, Reflets, revue d’intervention sociale et communautaire |Membre, Collectif de recherche FemAnVi

 

📖 𝐑𝐞́𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬
Lapierre, Simon et Alexandra Vincent (2022). Le meilleur intérêt de l’enfant victime de violence conjugale. Enjeux et réponses sociojudiciaires. Presses de l’Université du Québec.
https://www.puq.ca/…/meilleur-interet-enfant-victime…
Lapierre, Simon et Isabelle Côté (2018). Il se prenait pour le roi de la maison! Des enfants parlent de la violence conjugale. Les éditions du remue-méninge.
https://www.editions-rm.ca/…/il-se-prenait-pour-le-roi…/

 

L’évolution de la perception des personnes victimes en matière d’agressions sexuelles.

 

 

Par Latifa Boujallabia, Sexologue et psychothérapeute

 

 

 

Les voix des femmes autochtones: au-delà de la victimisation

Par Femmes Autochtones du Québec (FAQ)

Première partie:

Deuxième partie: